Fonds social : une réponse concrète pour les adhérents qui rencontrent des difficultés financières personnelles En savoir plus

Un grain de folie en 2023 !

Il faut avoir un bon grain de folie pour créer son entreprise et il en faut encore plus pour continuer d’entreprendre chaque jour !

Car entreprendre, c’est savoir sortir de sa zone de confort, avoir le courage de prendre des risques ou encore oser penser différemment…
L’association GSC est fière d’accompagner vos adhérents dans leurs projets les plus fous.

Nous vous souhaitons à toutes et à tous une très belle année 2023, pleine d’audace, de joie et de folie d’entreprendre !

Anthony Streicher, Président
Elodie Warnery, Directrice Générale
Et toute l’équipe de l’association GSC

L’association GSC recrute

L’association GSC recrute un(e) business developer

Présentation de l’association :

La GSC est une assurance perte d’emploi créée il y a plus de  40 ans à l’initiative du Medef, de la CPME et de l’U2P, pour permettre aux chefs et dirigeants d’entreprises de maintenir leurs revenus en cas de perte d’activité professionnelle et ainsi de pouvoir rebondir. L’association GSC est l’association souscriptrice du produit GSC. Elle est une association à but non lucratif et intermédiaire d’assurance immatriculée à l’Orias. Sa mission est de veiller aux intérêts des dirigeants assurés, de réaliser la promotion de cette solution d’assurance auprès des dirigeants d’entreprises et d’en assurer le développement. La GSC est adossée à un pool d’assureurs et la gestion des contrats est assurée par Gan Assurances.

Le poste : Business developer

Basé à : Paris – mobilité géographique ponctuelle en France à prévoir

Description du poste :

Le business developer devra gérer et développer un portefeuille de clients et de prospects au sein d’un secteur géographique donné. Il devra savoir analyser les besoins des prospects en appels entrants et prospecter à son tour pour proposer la solution d’assurance, dans le respect de la mission de l’association GSC et de son devoir de conseil. Il devra suivre ses clients en étant à l’écoute de leurs besoins et chercher à les fidéliser.  Il réalisera également des actions d’analyse de la satisfaction client et de veille commerciale.  Il travaillera en étroite relation avec les référents GSC au sein des organisations patronales.

Il doit être capable de comprendre les besoins d’un entrepreneur et de présenter, dans un échange individuel, devant une assemblée d’entrepreneurs ou auprès des organisations patronales, le produit d’assurance dans le détail.

Prise de fonction : octobre 2022

Profil recherché : Minimum Bac + 2 commerce ou assurance. Débutant accepté. (possibilité de contrat en alternance)

Qualités requises : Bonne qualité d’écoute afin de recueillir les attentes du client et comprendre son besoin (appels entrants et sortants), capacité à travailler en équipe, bon esprit, aisance à l’oral, pro-activité, sens de l’organisation et des priorités.

Contactez notre directrice générale adjointe Céline Gauthier

par mail : c.gauthier@gsc.asso.fr

ou par téléphone : 01.45.72.63.10 / 06 12 15 48 26

 

 

 

 

 

Le Lab Media GSC

Communiqué de presse

Paris, le 3 octobre 2022

Le Lab Media GSC : une plateforme pour accompagner les entrepreneurs à chaque étape du développement de leur entreprise

L’association GSC lance le « Lab Media GSC », une plateforme digitale libre d’accès, conçue pour les entrepreneurs et pour celles et ceux qui souhaitent le devenir. À travers des podcasts et des MOOC, les chefs d’entreprise reçoivent des conseils de pairs et d’experts pour développer les bons réflexes tout au long de leur vie entrepreneuriale et anticiper les risques liés à leur statut et leurs fonctions. Plus d’informations sur https://lelabmedia.gsc.asso.fr/

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC : « Nous sensibilisons au quotidien les entrepreneurs sur les risques qui peuvent les toucher et sur la nécessité de les anticiper. Il était important de leur proposer également des conseils pour mener à bien toutes les étapes du développement de leur entreprise. Le Lab Media GSC a été pensé comme une boîte à outils qui propose différents formats concrets et adaptés aux besoins des entrepreneurs. »

Les éléments issus d’observations et d’échanges avec les chefs d’entreprise et experts ont permis de concevoir ces ressources en ligne :

  • 5 épisodes du podcast « Paroles d’Entrepreneurs » :  Les Courageux, Les Dirigeants de demain, Les Responsables, Les Prévoyants, Les Résilients. Ce format court et didactique de 30 minutes donne la parole à des entrepreneurs aux parcours et opinions plurielles pour s’armer face aux nombreux défis de demain : enjeux climatiques et sociétaux, rapport à l’échec, gestion du stress financier et des crises ou encore équilibre entre vie familiale et professionnelle.

 

  • 2 MOOC dédiés à « La croissance de l’entreprise » et « La démarche entrepreneuriale ». Ces modules, composés de 5 chapitres d’environ 30 minutes, sont agrémentés de témoignages de startuppers, dirigeants et chefs d’entreprise, ainsi que d’experts métier.

D’autres épisodes rejoindront le catalogue de contenus pour informer les femmes et hommes chefs d’entreprise sur les débats entrepreneuriaux et réfléchir aux risques liés à leur activité.

Fiche technique :

Production des MOOC et podcast : Widoobiz/ We’ll

Développement : Les Novateurs

A propos de l’Association GSC :

Depuis plus de 40 ans, l’association GSC est la réponse élaborée par les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Generali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances. www.gsc.asso.fr

Contact presse :

Léa Cauchi – 06 24 96 84 31 – lea.cauchi@coriolink.com

Chiffres du 1er semestre 2022 de l’Observatoire

Observatoire de l’emploi des entrepreneurs


18 519 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi au 1er semestre 2022

Les chefs d’entreprises du BtoC particulièrement exposés

 

L’ association GSC et la société Altares dévoilent les chiffres du 1er semestre 2022 de l’Observatoire de la perte d’emploi des dirigeants d’entreprise .  18 519 chefs d’entreprise se sont retrouvés en situation de chômage : c’est près de 30 % de plus qu’en 2021 à la même période.

  • Les chiffres du 1er semestre 2022 et le contexte économique actuel présagent une fin d’année difficile.
  • Tous les secteurs sont touchés, mais les activités en lien avec les consommateurs (BtoC : commerce et services) sont les plus fragilisées.

Aucune région ne semble épargnée.

Le nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi progresse

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« Après avoir connu des seuils historiquement bas ces deux dernières années, les chiffres du 1er semestre 2022 renouent progressivement avec les niveaux d’avant crise. La guerre en Ukraine, les problèmes d’approvisionnement et le pouvoir d’achat en berne sont autant de facteurs extérieurs d’incertitude pour les chefs d’entreprise, qui doivent inciter à la vigilance. Sans anticipation, je crains que les situations dramatiques se multiplient. »

18 519 chefs d’entreprises ont perdu leur emploi entre le 1er janvier et le 31 juin 2022, soit une hausse de 28,9 % par rapport à la même période en 2021. Les « seniors » restent particulièrement concernés : l’âge médian des chefs d’entreprise en situation de perte d’emploi est de 46,7 ans. Ceux âgés de 31 à 40 ans connaissent toutefois la plus forte augmentation au 1er semestre 2022 : 4 511 se sont retrouvés en situation de perte d’emploi, soit + 47,8 % sur un an. Les entrepreneurs de plus de 50 ans connaissent quant à eux une hausse de 37,2 %, soit 4 152 pertes d’emploi.

Les entrepreneurs à la tête de petites structures (de moins de 3 salariés), représentent plus des trois-quarts des pertes d’emploi pour le 1er semestre 2022. Une baisse était déjà observée en 2020 et 2021 ; le recul se poursuit donc auprès des dirigeants à la tête d’une entreprise de plus de 20 salariés : – 13 % pour les dirigeants de 20 à 49 salariés et – 16,3 % pour les dirigeants d’entreprise de plus de 50 salariés.

L’essentiel (88%) des entreprises fermées sont des très petites entreprises déclarant moins de 500 000 € de chiffre d’affaires (7 450 entreprises) ou ne publiant pas leurs comptes (plus de 7 000 entreprises, essentiellement des artisans qui ne sont pas tenus de publier des comptes et dont le CA doit être très inférieur à 500 000 €).

Les gérants de SARL – 7 755 dirigeants touchés – forment l’essentiel des pertes d’emploi (en augmentation de 19,8 % par rapport au 1er semestre 2021). Toutefois, la part des gérants de SARL touchés diminue, alors que le nombre de dirigeants de SAS (​​+ 36,2 %) et d’artisans – commerçants (+ 21,8%) touchés augmente, quant à lui, fortement.

Pour Frédéric Barth, Directeur Général d’Altares :

« Au cours de ce premier semestre 2022, ce sont près de 90 000 nouvelles entreprises qui ont vu le jour chaque mois, un nombre bien supérieur à celui enregistré en 2019 (72 000 en moyenne). Cette dynamique de créations d’entreprises confirme la capacité des entrepreneurs à se projeter, en dépit d’un contexte économique difficile. Elle s’accompagne d’une disposition du chef d’entreprise à prendre des risques, qui pourrait être mise à mal au sortir de la pandémie de Covid-19 qui a fragilisé les structures financières. Tandis que les défaillances d’entreprises sont reparties à la hausse ces six derniers mois, touchant, pour les trois quarts, de très petites structures de moins de trois salariés, assurer le bon fonctionnement de son entreprise nécessite pour son dirigeant de conjuguer prévention des risques commerciaux, risques financiers et risques personnels. »

Les chefs d’entreprise à la tête d’une activité BtoC sont les plus vulnérables

Les entrepreneurs de la construction connaissent une hausse moins rapide que la moyenne nationale (+ 11 %), mais représentent toujours près d’un quart des pertes d’emploi (3 808).

Les dirigeants exerçant dans des professions en contact direct avec les consommateurs sont particulièrement exposés. Les aides de l’Etat ont permis de faire face à la crise, mais les difficultés de pouvoir d’achat des Français ont des conséquences fortes sur la consommation.

La situation se dégrade très nettement pour les professionnels du secteur lié à l’hébergement, à la restauration et aux débits de boisson avec 2 092 pertes d’emploi (+ 60,8 %). Les difficultés sont aussi présentes dans le domaine du commerce (3 815 entrepreneurs concernés, soit + 32,8 %) en particulier pour les commerces de détail.

Le secteur des services aux particuliers est également fragilisé par la baisse des dépenses des ménages : 730 chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle au 1er semestre 2022 (+ 36,2 % par rapport au 1er semestre 2021).

Les activités du BtoB semblent mieux résister, mais de fortes disparités sont constatées entre les activités. Le secteur transport & logistique est particulièrement impacté avec 773 dirigeants qui ont perdu leur emploi (+ 39,3 %).

L’ensemble du territoire français en tension 

Alors que les chiffres de 2021 laissaient paraître un recul du nombre d’entrepreneurs ayant perdu leur emploi sur l’ensemble du territoire, la situation s’inverse au 1er semestre 2022.

L’Ile-de-France – première région économique du pays – est le territoire le plus touché : 3 697 entrepreneurs ont connu cette situation au 1er semestre 2022. Cependant, la progression reste à un niveau inférieur à la moyenne nationale : + 10,2 % pour l’Ile-de-France et + 28,9 % au national.

La région des Hauts-de-France est la plus en souffrance. Ils sont 1 420 dirigeants à avoir perdu leur emploi au 1er semestre 2022 contre 869 au 1er semestre 2021 (+ 63,4 %). Tous les dirigeants, quels que soient la taille, le chiffre d’affaires ou encore la forme juridique de l’entreprise sont impactés sur ce territoire.

En Bourgogne-Franche-Comté, la progression des dirigeants en situation de « chômage » est également importante (+ 43,5 % ; 581 dirigeants).

Dans trois régions, la hausse des pertes d’emploi des dirigeants est supérieure à 30 % : la Normandie (+ 34,2 % ; 600), la Bretagne (+ 34,1% ; 598) et l’Occitanie (+ 31,1 % ; 1 442).

La Corse est le seul territoire à enregistrer un recul de – 1,4 %, soit 71 chefs d’entreprise impactés.

Méthodologie

Les données sont issues de l’analyse des entreprises, hors sociétés civiles et associations, placées directement, par conversion ou par résolution du plan en liquidation judiciaire par le Tribunal de Commerce ou Judiciaire. Ne sont pas intégrées les procédures de fermeture ou dissolution à l’amiable de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos de l’association GSC

Depuis plus de 40 ans, la GSC est la réponse élaborée par les organisations patronales face au besoin de protection chômage des chefs d’entreprise et indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Generali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 440 millions d’entreprises dans 220 pays.

Contact Presse Association GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

 

Téléchargez l’infographie complète de l’Observatoire du 1er semestre 2022 ici.

Chiffres 2021 de l’Observatoire en région Centre – Val de Loire

Chiffres 2021 de l’Observatoire en région Centre – Val de Loire

L’association GSC et la société Altares dévoilent la 6ème édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. Les chiffres 2021 de l’Observatoire en région Centre – Val de Loire révèlent qu’en 2021, 1026 femmes et hommes chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle, soit une diminution de 2,4 % par rapport à l’année 2020.

  • Des aides qui ont permis d’amoindrir les effets de la crise et continuent de doper l’économie.
  • Les chefs d’entreprise seniors (souvent expérimentés) restent les premiers touchés.
  • L’observatoire 2021 est une radiographie de l’économie dont la guerre en Ukraine montrera d’autres points de vulnérabilité.

Centre-Val de Loire : un territoire contrasté

La majorité des départements de la région enregistre une diminution du nombre d’entrepreneurs en situation de perte d’emploi. Le département du Loiret (272 dirigeants) représente à lui seul plus d’un
quart des pertes d’emploi de la région malgré une baisse de 3,2 %.

Dans deux départements, la baisse des dirigeants en situation de « chômage » est supérieure à 15 % : Cher (103 dirigeants, – 18,3 %), et le Loir-et-Cher (124 ; – 16,8 %). 198 chefs d’entreprise du département de l’Eure-et-Loir se sont également retrouvés en situation de chômage, soit une baisse de 1 %.

Les départements de l’Indre-et-Loire et de l’Indre sont les seuls à enregistrer une hausse des chefs
d’entreprise qui ont perdu leur activité professionnelle en 2021 avec respectivement 232 dirigeants
contre 219 en 2019 (+ 5,9 %) et 97 dirigeants contre 76 en 2019 (+ 27,6 %).

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC : « Le soutien de l’Etat continue de produire ses effets pour aider les entreprises à maintenir la tête hors de l’eau. Nous n’avons pas été confrontés au raz-de-marée des faillites redouté. Néanmoins, les chefs d’entreprise devront faire face à de nouvelles menaces, conséquences de la guerre en Ukraine et il convient d’être particulièrement prudent pour l’avenir. En 2021, ce sont près de 30 000 femmes et hommes chefs d’entreprise qui ont perdu leur emploi au niveau national et 1 026 en région Centre-Val de Loire. Pour l’immense majorité d’entre eux, sans filet de sécurité. Et c’est un véritable drame, lorsque ces derniers viennent trop tardivement demander de l’aide et nous disent « si j’avais su » ! ».

Pour Frédéric Barth, Directeur Général d’Altares : « Après un recul historique de 8 % du PIB 2020, la croissance française signait en 2021 son meilleur chiffre (+7 %) depuis plus de 50 ans.
L’entrepreneuriat établissait un nouveau record avec près d’un million de nouvelles entreprises
pendant que les défaillances tombaient sous le seuil de 30 000, pour atteindre leur plus bas niveau
depuis 30 ans. »

Les chefs d’entreprise « seniors » particulièrement exposés

L’âge médian des chefs d’entreprise impactés en région Centre-Val de Loire est de 48 ans. La crise
économique touche particulièrement des entrepreneurs pour lesquels le rebond professionnel sera
plus difficile : dans le département de l’Indre l’âge médian atteint 51 ans.
Cette population, dite de « seniors », est généralement installée dans une vie personnelle construite,
avec des charges familiales et financières parfois importantes. Ce contexte personnel peut amplifier
la pression et l’inquiétude en cas de perte d’emploi, et amener à prendre de mauvaises décisions.

« Si le chiffre d’affaires n’est pas au rendez-vous en 2022 pour certains chefs d’entreprise, le paiement des reports de cotisations sociales accordés pendant la crise du Covid-19 ou le début des remboursements des prêts PGE pourraient mener à des situations dramatiques. Notre devoir est de
continuer à accompagner ces chefs d’entreprise et de les inviter à anticiper ces situations. » explique
Anthony Streicher, Président de l’association GSC.

Les entrepreneurs à la tête de petites structures de moins de 3 salariés, représentent près de 7 pertes
d’emploi sur 10 dans la région en 2021.

Les chefs d’entreprise des secteurs de la construction et du commerce restent les plus impactés

Les entrepreneurs des secteurs de la construction (264) et du commerce (241) représentent à eux seuls près de la moitié des pertes d’emploi de la région. Les acteurs de l’immobilier subissent une hausse de 125 %, soit 45 dirigeants de la branche en situation de chômage en 2021 contre 20 en 2020.

Les dispositifs mis en place par l’Etat permettent aux secteurs liés à l’hébergement, à la restauration,
et aux débits de boisson d’être en net recul en 2021 avec -27,3 %. La fin des aides et les difficultés
de pouvoir d’achat des Français nécessitent de rester prudent pour l’avenir du secteur.

Les difficultés sont également présentes dans le domaine information et communication : 33 entrepreneurs ont perdu leur emploi (+50 %).

Les chefs d’entreprise dans le domaine agricole apparaissent comme ceux ayant le moins bien résisté à la crise en région Centre-Val de Loire. 53 professionnels ont perdu leur activité en 2021 (+120,8 % par rapport à 2020). Les éleveurs connaissent la plus forte progression (+ 500 %) et subissent la hausse des prix pour nourrir le bétail.

Méthodologie

Les données sont issues de l’analyse des entreprises, hors sociétés civiles et associations, placées directement, par conversion ou par résolution du plan en liquidation judiciaire par le Tribunal de Commerce ou Judiciaire. Ne sont pas intégrées les procédures de fermeture ou dissolution à l’amiable, de même que les révocations des mandataires sociaux.

A propos

A propos de l’association GSC

Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Generali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 440 millions d’entreprises dans 220 pays.

Contact Presse

Association GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

 

Pour télécharger le Communiqué de Presse 

Une nouvelle campagne TV – « Il faut être un peu fou pour créer sa boîte… »

Une nouvelle campagne TV – « Il faut être un peu fou pour créer sa boîte… »

Seuls 1% des chefs d’entreprise sont couverts pour faire face à la perte de leur emploi.
En cause : une méconnaissance de la problématique de la perte d’emploi des dirigeants, encore mésestimée, mais également un déficit d’information sur les dispositifs permettant de maîtriser ce risque.

Face à ce constat, l’association GSC a imaginé avec l’agence MAI 69 une grande campagne de sponsoring TV autour de 3 billboards, diffusés depuis le lundi 28 mars dans plusieurs programmes phares des chaînes du groupe France Télévisions : On est en Direct, C Ce Soir (France 2), C Dans l’Air, C Politique, C A Dire ?!, Revu (France 5), C’est en France (France 24) ou encore Dans Votre Région (France 3)…

A cette occasion, trois films mettant en scène trois chefs d’entreprise (une fleuriste, un restaurateur, un patron de PME) dans trois situations « décalées » seront diffusés pendant près de 3 mois afin d’alerter et sensibiliser les entrepreneurs aux risques de pertes d’emploi.
Le message est clair : « Il faut être un peu fou pour créer sa boîte… Mais il faut être complètement fou ne pas anticiper le risque d’échec ! »

Billboard TV 8 et 12’’
Dates de diffusion : Du 28 mars au 29 mai 2022 et du 3 octobre au 4 décembre 2022
Annonceur : Association GSC
Agence : Mai 69
Réalisation : Olivier Cavellat
Production : FranceTV Publicité avec Smith en Face

La célébration – 12 sec

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La batterie – 12 sec

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Le micro – 12 sec

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6e Edition de l’Observatoire de l’emploi

28 835 chefs d’entreprise ont perdu leur emploi en 2021

Un niveau historiquement bas qui doit néanmoins inciter à la prudence.

L’association GSC et la société Altares dévoilent la 6e édition de l’Observatoire de l’emploi des entrepreneurs. En 2021, 28 835 femmes et hommes chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle, une diminution de 13,1 % par rapport à l’année 2020.

  • Des aides qui ont permis d’amoindrir les effets de la crise et continuent de doper l’économie.
  • Les chefs d’entreprise seniors (souvent expérimentés) restent les premiers touchés.
  • L’Observatoire 2021 est une radiographie de l’économie dont la guerre en Ukraine montrera d’autres points de vulnérabilités.

Pour Anthony Streicher, Président de l’association GSC :

« Le soutien de l’Etat continue de produire ses effets pour aider les entreprises à maintenir la tête hors de l’eau. Nous n’avons pas été confronté au raz-de-marée des faillites redouté. Néanmoins, les chefs d’entreprises devront faire face à de nouvelles menaces, conséquences de la guerre en Ukraine et il convient d’être particulièrement prudent pour l’avenir. En 2021, ce sont près de 30 000 femmes et hommes chefs d’entreprise qui ont perdu leur emploi. Pour l’immense majorité d’entre eux, sans filet de sécurité. Et c’est un véritable drame, lorsque ces derniers viennent trop tardivement demander de l’aide et nous disent « si j’avais su » ! ».

Pour Frédéric Barth, Directeur Général d’Altares :

« Après un recul historique de 8 % du PIB 2020, la croissance française signait en 2021 son meilleur chiffre (+7 %) depuis plus de 50 ans. L’entrepreneuriat établissait un nouveau record avec près d’un million de nouvelles entreprises pendant que les défaillances tombaient sous le seuil de 30 000, pour atteindre leur plus bas niveau depuis 30 ans. »

Les chefs d’entreprise « seniors » particulièrement exposés

Dans une année 2021 encore marquée par la crise du Covid-19, le nombre de dirigeants ayant perdu leur emploi est au plus bas depuis la création de l’Observatoire : 28 835 chefs d’entreprise ont subi une liquidation judiciaire, soit une diminution de 13,1 % par rapport à l’année 2020.

L’âge médian des chefs d’entreprise impactés est de 47,5 ans. Cette population, dite de « seniors », est généralement installée dans une vie personnelle construite, avec des charges familiales et financières parfois importantes. Ce contexte personnel peut amplifier la pression et l’inquiétude en cas de perte d’emploi, et amener à prendre de mauvaises décisions. La crise économique touche particulièrement des entrepreneurs pour lesquels le rebond professionnel sera plus difficile : plus d’un tiers d’entre eux avait plus de 50 ans (10 655 dirigeants) en 2021.

Tranche d’âge des chefs d’entreprise ayant perdu leur activité professionnelle

Les chefs d’entreprise de moins de 26 ans sont ceux qui connaissent la plus forte augmentation en 2021 : 706 se sont retrouvés en situation de perte d’emploi, soit + 49,9 % sur un an.

« Si le chiffre d’affaires n’est pas au rendez-vous en 2022 pour certains chefs d’entreprise, le paiement des reports de cotisations sociales accordés pendant la crise du Covid-19 ou le début des remboursements des prêts PGE pourraient mener à des situations dramatiques. Notre devoir est de continuer à accompagner ces chefs d’entreprise et de les inviter à anticiper ces situations. » explique Anthony Streicher, Président de l’association GSC 

Perte d’emploi : des profils de dirigeants éclectiques

La crise impacte tous les dirigeants, quels que soient la taille, le chiffre d’affaires ou encore la forme juridique de l’entreprise. Les entrepreneurs à la tête de petites structures, de moins de 3 salariés, représentent plus des trois-quarts des pertes d’emploi en 2021. Le recul le plus fort observé concerne les entreprises de plus de 50 salariés, mais ceci fait suite à une forte hausse l’année précédente : 214 étaient concernées en 2020 contre 131 en 2021 (-38,8 %).

Si 10 512 entreprises enregistraient un chiffre d’affaires inférieur à 500 000 euros, 232 sociétés concernées par une liquidation judiciaire déclaraient un chiffre d’affaires supérieur à 5 millions d’euros.

Les gérants de SARL, avec 12 766 dirigeants touchés, forment l’essentiel des pertes (-19,5 % par rapport à 2020) tandis que près de 9 618 chefs d’entreprise étaient à la tête d’une SAS (-7,8 %). SARL et SAS sont donc, sans surprise, les deux formes juridiques les plus représentées.

Les chefs d’entreprise du secteur de l’hébergement, restauration, débits de boisson résistent

Les entrepreneurs des secteurs de la construction (6 732) et du commerce (5 906) représentent près de la moitié des pertes d’emploi malgré une baisse respective de 6,2 % et 16,3 %. Les pénuries de main d’œuvre et de matières premières ont des conséquences sur les acteurs du bâtiment : 5 972 dirigeants de la branche se sont retrouvés en situation de chômage en 2021.

Les difficultés sont également présentes dans le domaine du service : 3 933 entrepreneurs ont perdu leur emploi dans les services aux entreprises.

Les dispositifs mis en place par l’Etat permettent au secteur lié à l’hébergement, à la restauration, et aux débits de boisson d’être en net recul en 2021 avec -39,2 %. Cependant, la fin des aides et les difficultés de pouvoir d’achat des Français nécessitent de rester prudent pour l’avenir des professionnels du secteur.

Les chefs d’entreprise dans le domaine agricole apparaissent comme ceux ayant le moins bien résisté à la crise. Après un léger recul en 2020, 646 professionnels ont perdu leur activité en 2021 (+16,8 % par rapport à 2020). Les éleveurs connaissent la plus forte progression (+ 29,4 % soit 251 chefs d’entreprise) et subissent la hausse des prix pour nourrir le bétail.

Les pertes d’emploi par secteur – évolution 2020/2021

L’ensemble du territoire connaît un recul des entrepreneurs en situation de « chômage »

 

Le nombre de chefs d’entreprise ayant perdu leur emploi par région

 

Près d’un quart des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile-de-France (6 578 chefs d’entreprise). Les régions PACA (2979) et Auvergne-Rhône-Alpes (2930) sont également des territoires qui cumulent un nombre important d’entrepreneurs en situation de « chômage ».

Près d’un quart des pertes d’emploi est concentrée sur l’Ile-de-France (6 578 chefs d’entreprise). Les régions PACA (2979) et Auvergne-Rhône-Alpes (2930) sont également des territoires qui cumulent un nombre important d’entrepreneurs en situation de « chômage ».

Dans deux régions, la baisse des pertes d’emploi des dirigeants est supérieure à 30 % : la Normandie (901 ; – 31,5 %) et la Corse (134 ; – 41,2 %), particulièrement sinistrées par la crise économique et sanitaire.

L’Outre-mer fait face à un recul moins conséquent (- 6 %) en raison d’une augmentation des pertes d’activité professionnelle à La Réunion et en Guyane (respectivement + 18,6 % et + 4,1 %).

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A propos

A propos de l’association GSC

Depuis plus de 40 ans, l’association GSC se donne pour mission d’informer et de sensibiliser les chefs d’entreprise, des risques de leur situation et plus particulièrement la perte d’emploi.

La GSC est la réponse qu’ont élaborées les organisations patronales face au besoin de protection chômage des indépendants. L’association GSC est l’association qui a souscrit le contrat d’assurance de groupe GSC auprès d’un pool d’assureurs (Groupama, Allianz, Generali, SMABTP). Elle est administrée par le Medef, la CPME et l’U2P qui l’ont conçue en 1979. Elle veille aux intérêts des dirigeants affiliés au régime. La gestion du régime a été confiée à Groupama – GAN Assurances.

A propos d’Altares

Expert de l’information sur les entreprises, Altares collecte, structure, analyse et enrichit les données BtoB afin de les rendre « intelligentes » et faciliter la prise de décision pour les directions générales et opérationnelles des entreprises. Le groupe propose son expertise sur toute la chaîne de valeur de la data. Partenaire exclusif en France, au Benelux et au Maghreb de Dun & Bradstreet, 1er réseau international d’informations BtoB, Altares se positionne comme le partenaire de référence des grands comptes, ETI, PME et organisations publiques, en leur offrant un accès privilégié à ses bases de données sur plus de 440 millions d’entreprises dans 220 pays.

Contacts Presse :

Association GSC

Léa Cauchi – Agence CorioLink

lea.cauchi@coriolink.com – 06 24 96 84 31

Altares

Thierry Millon – Directeur des études

Thierry.Millon@altares.com – 04 72 65 15 51

Conférence « L’anticipation des risques, une évidence pour tous? »

Le 5 octobre 2021, l’association GSC a organisé la conférence « L’anticipation des risques, une évidence pour tous? » à l’issue de son Assemblée Générale à la Fabrique Evénementielle (Paris).

Thierry Millon (Directeur des études – Altares DB), Dimitri Pivot (Président – Second Souffle), Anthony Streicher (Président – Association GSC), Stéphanie Pauzat (Vice-présidente – CPME) et Michel Picon (Vice-président – U2P) nous ont fait l’honneur d’y intervenir et de partager leur expertise avec l’audience.

Remerciements

L’équipe de l’association GSC vous remercie de votre présence à sa conférence L’anticipation des risques : une évidence pour tous ?. Nous avons été ravis de vous y accueillir et espérons que vous y avez passé un bon moment. Aussi, nous vous proposons de revivre ce moment en images.

Les intervenants experts de la conférence
Dimitri Pivot, Thierry Millon, Elodie Warnery, Stéphanie Pauzat, Anthony Streicher et Michel Picon

Retour en images

Retour sur les temps forts

Découvrez dans cette section les captations des temps forts de la conférence.

« Entrepreneur, suis-je à l’abri face au risque ? » Dimitri Pivot, Président de l’association Second Souffle

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« Quelles entreprises ont été les plus touchées par la crise économique et sanitaire ? » Stéphanie Pauzat, vice-présidente de la CPME.

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« Comment appréhender la fin du quoi qu’il en coûte ? » Thierry Millon, directeur des études d’Altares D&B.

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« Informer et sensibiliser le chef d’entreprise face aux risques de perte d’emploi : une nécessité ». Anthony Streicher, président de l’Association GSC.

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« Les enjeux de la reprise : continuer à accompagner les entrepreneurs les plus exposés ». Michel Picon, vice-président de l’U2P et président de l’UNAPL.

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Interviews

L’association GSC a posé 2 questions à 4 de nos experts. Comme nous souhaitons partager avec vous leur expertise, retrouvez leurs réponses en images ci-dessous.

Comment être accompagné en cas de difficultés ?

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Anticiper : une nécessité pour rebondir ?

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Comment faire face au risque de perte d’emploi ?

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Quel impact de la crise sur les entreprises de proximité  ?

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Des solutions pour prévenir les risques entrepreneuriaux ?

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Quels nouveaux risques pour les entreprises ?

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En 2021, l’anticipation, une évidence ?

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Crise covid : l’anticipation au coeur des débats ?

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Toute l’équipe de l’association GSC vous remercie – invités et experts – de votre présence, de vos interventions et du partage de votre expertise.

Evénement : Invitation à la table ronde du 5 octobre 2021

Invitation à la table ronde du 5 octobre 2021

A l’issue de son assemblée générale, l’association GSC vous invite à la table ronde intitulée  : « L’anticipation des risques, une évidence pour tous ? ».

De plus, un cocktail déjeunatoire nous permettra de partager en toute convivialité après l’événement.

Lieu : La Fabrique Evénementielle – 52 ter rue des Vinaigriers – 75010 Paris (cliquez ici pour voir le plan)

Accès : Station Château d’eau sur la ligne 4 ou Station Gare de l’Est sur les lignes 4, 5 et 7.

Pour vous y inscrire, cliquez ici.

Si vous êtes adhérent et souhaitez participer à l’assemblée générale, contactez-nous par email à : contact@gsc.asso.fr

 

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Pour avoir accès à la Fabrique Evénementielle, nous vous rappelons qu’il est impératif d’être muni :     

– De votre invitation                                                                                                                                              

– D’un pass sanitaire valide (certificat de vaccination ou test PCR/antigénique de moins de 72h).      

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Allocation Travailleur Indépendant : Il faut sauver tous les entrepreneurs

Allocation Travailleur Indépendant : Il faut sauver tous les entrepreneurs

L’Allocation Travailleur Indépendant a été mise en place en novembre 2019. Découvrez le bilan de cette mesure ci-après. Notre constat : il faut sauver tous les entrepreneurs.

  • EN CHIFFRES 

En 2020, 33 189 femmes et hommes chefs d’entreprise ont perdu leur activité professionnelle.

Moins de 3 000 demandes d’Allocation du Travailleur Indépendant (ATI) ont été enregistrées par Pôle Emploi. Parmi elles, seules 800 ont abouti à une indemnisation. Le dispositif présente un taux de couverture intérieur à 10% (contre 60% initialement prévus). Seulement 1% des chefs d’entreprise en France ont souscrit une assurance perte d’emploi quelle qu’elle soit.  

  • CONSTAT 

À l’heure de la relance, des milliers de chefs d’entreprise risquent de perdre leur emploi en 2021 et pour la majorité, sans filet de sécurité ! Ces femmes et ces hommes qui, grâce à leur volonté et leur énergie, créent de la valeur et des emplois. Sans ces entrepreneurs, qui seront les piliers de la relance ? Sur qui s’appuiera la croissance de demain si nous ne les soutenons pas ?  

  • ENJEUX 

L’information sur l’anticipation et les risques doit devenir une obligation car notre devoir est de sauver tous les entrepreneurs.
D’une part, informer les entrepreneurs 
des solutions existantes de protection contre la perte d’emploi du dirigeant doit être une priorité.
D’autre part, dans une logique de crise économique, l’ATI doit être repensée pour devenir un dispositif d’urgence, 
à l’instar du chômage partiel, et soutenir davantage les entrepreneurs.  

À défaut de pouvoir sauver toutes les entreprises en péril, il faut sauver l’esprit d’entreprendre de nos dirigeants en les aidant à rebondir, à créer et à participer pleinement à la relance du pays. 

 

Le soutien de l’Etat à l’économie trouve sa traduction dans un Plan de relance d’une ampleur inédite.
Mais sauver toutes les entreprises sans chercher à sauver les entrepreneurs ne sert à rien.
L’Etat se doit de soutenir, les femmes et les hommes chefs d’entreprise que la crise a empêché d’entreprendre, et sur qui s’appuiera la croissance de demain.
 

 

A chaque étape de la vie de l’entreprise, tous les tiers de confiance accompagnant l’entrepreneur (experts-comptables, CCI, CMA, greffiers du Tribunal de Commerce, banquiers, avocats…) doivent systématiquement le sensibiliser aux conséquences d’une perte d’emploi et l’informer de l’ensemble des solutions existantes permettant de maîtriser ce risque. 

 

Compte tenu de la crise sanitaire, il faut temporairement transformer l’ATI en dispositif d’urgence.
J
usqu’à l’éte 2022, le montant de l’indemnité doit être augmenté à 1 000€ minimum et l’accès doit être ouvert aux chefs d’entreprise en activité depuis 1 an (au lieu de 2). 

 

A l’issue de chaque liquidation judiciaire, les Tribunaux de Commerce doivent systématiquement informer le dirigeant de l’existence de l’ATI et de son droit à en bénéficier, ainsi que des démarches à entreprendre pour y avoir accès.